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[Savannah-hackers] Penser ce qui suivra Kyoto : un coup pour rien


From: France Bleue
Subject: [Savannah-hackers] Penser ce qui suivra Kyoto : un coup pour rien
Date: Wed, 29 Dec 2004 04:20:32 +0100


A l'attention de - SAVANNAH-HACKERS






Penser ce qui suivra Kyoto : un coup pour rien14/12/2004

Pas d'angélisme : les négociations sur l'effet de serre constituent un enjeu stratégique - USA - Santé - Etés chauds

     

Bonne année et Mardi 25 janvier : lancement du cycle de travail sur l'après Kyoto

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La conférence sur le changement climatique s'est achevée sur une impression de désappointement devant l'incompréhension des parties en présence. Pourquoi ? Quels sont les vrais ressorts et les vrais enjeux ? N'y a t-il pas un marché de dupe dans ces discussions ? C'est notre point de vue. Mais pour dépasser les facteurs de blocage devenus évidents, il convient de faire ressortir la dimension stratégique de la discussion. C'est ce à quoi nous allons désormais nous attacher.

La conférence de Buenos-Aires est toutefois convenue de tenir en mai prochain à Bonn une réunion sur les suites à donner aux engagements de réduction des émissions de gaz à effet de serre à l'expiration du protocole de Kyoto en 2012. Cette perspective constituera un des axes majeurs de travail et de participation de France-Planète Bleue à diverses initiatives :

- la reprise des ateliers bleus tous les 2ème, 3ème voire 4ème jeudi de chaque mois (18H30) dans les locaux du Pôle Vinci à la Défense ;
- la participation et le soutien à diverses initiatives telles que le colloque Energie et Effet de Serre (20 avril 2005) de Passages au Sénat ou le Forum Mondial du Développement Durable (début décembre 2005) qui sera consacré aussi à l'après Kyoto.

Nous voulons entendre tous les points de vue sans tabou. Aussi vous trouverez ci-dessous les documents fournis par le directeur du Plan Climat américain, Robert Marlay, dont la conférence donnée le 15 décembre a été très éclairante.

Dans le cadre de notre partenariat avec Vinci et ses Propos, nous avons demandé à Laurence Tubiana d'inaugurer ce cycle en présentant son point de vue sur l'après Kyoto. Point de vue essentiel puisqu'elle préside l'Iddri qui a reçu mission d'éclairer les dossiers utiles aux sherpas du gouvernement dans ces discussions et négociations essentielles. Nous vous invitons à venir nombreux à cet échange où tout le programme du cycle sera présenté.

France - Europe - Planète Bleue
partenaire des

Propos de Vinci

Dans ce cadre, le Directeur Général du Pôle Universitaire Léonard de Vinci
Pierre Monzani
vous invite à inaugurer le cycle 2005

Mardi 25 janvier de 18 heures 30 à 20 heures
A l'occasion des négociations internationales

Laurence TUBIANA
Présidente de l'Iddri
Institut du développement durable et des relations internationales

Comment aborder l'après Kyoto ?

Conférence - Confrontation et Débat élargi - Amphi colloque

Pôle Universitaire Léonard de Vinci
Piéton
: Métro Défense (92) puis à droite de l'Arche
Voiture : Parking assuré au 12 av Léonard de Vinci 92400 - Courbevoie (Plan)

Transmettre l'invitation à ses amis
Possibilité de s'inscrire dès maintenant dans le panel du débat

     

Santé et environnement. Serge Lepeltier : «Les produits polluants doivent être plus chers que les non polluants»

Le ministre de l'Ecologie, Serge Lepeltier (ici en médaillon), a décidé de s'attaquer à la pollution atmosphérique. Il a expliqué, notamment dans une interciew au Figaro, comment il comptait s'y prendre. Il y fait aussi le point sur le projet de bonus-malus tant discuté que nous avons nous-même déjà abordé dans ces colonnes.

Si France-Europe-Planète Bleue loue évidemment les orientations ainsi définies, nous nous interrogeons parfois sur les moyens utilisés. Le système dit de taxes-subventions, taxes sur le 4-4 (simplifions) d'un coté, de subventions aux collectivités qui polluent à travers leurs flottes captives de l'autre coté, constitue t-il vraiment la solution ? Est-ce seulement éthique ? N'y a t-il pas mieux à faire ? N'y a t-il pas d'autres possibilités pour aider efficacement notre industrie à produire propre en investissant sur l'avenir. Le Ministre appelle à une vraie réflexion sur la fiscalité environnementale. C'est en fait une réforme progressive de l'ensemble de la fiscalité qui est nécessaire mais difficile. En déportant progressivement la fiscalité fondée sur le travail vers une fiscalité sur l'emploi des ressources critiques, il est possible de conduire l'ensemble de l'économie vers des modes de production plus vertueux. Le consommateur citoyen, c'est bien. L'entreprise incitée dans son propre intérêt à une production propre et concurrentielle, c'est encore mieux. Mais la parole est au Ministre qui ne dit pas autre chose : "Pour moi, le bonus-malus était une sorte de clef d'entrée pour rediscuter et réenvisager des mesures en matière de fiscalité écologique."

Vous trouverez en pièce jointe [l'intégralité de l'interview de Serge Lepeltier ] qui conclut : «Notre objectif est de diviser par deux les particules fines émises par les voitures dès le 1er janvier 2005.»
Interview_Lepeltier_Environnement-sante.htm
     

Régionaliser la mondialisation : le cas de l'effet de serre

Pas de responsabilité sans altérité

Sous de faux prétextes comme celui que la pollution n'aurait pas de frontière, la plupart des organisations non gouvernementales opposent une autre mondialisation à la mondialisation que porte le développement sans précédent des impacts collectifs (dits externalités). Ni l'une ni l'autre de ces mondialisations ne rencontre en fait de volonté organisée.

Ce n'est finalement qu'une façon d'opposer un non gouvernement à une absence de responsabilité. Le fait que le monde devienne un réseau qui s'accommode mal des traits caricaturaux de l'Etat - Nation traditionnel n'y change rien. La responsabilité ne peut, ne devrait, s'exercer que dans l'altérité, sinon c'est soit une fuite, soit la domination implicite de l'un par l'autre. Les rencontres de Buenos-Aires viennent d'en redonner la démonstration attendue.

... [Lire la suite et la note de travail complète de Patrice Hernu] (en médaillon)...

[ECO] : « ...L'UE ne doit pas gaspiller son capital Kyoto durement gagné, mais elle doit l'utiliser intelligemment. Reculer sur le fait que le Protocole doive servir de base aux négociations futures enverrait un très mauvais signal à tous. »

C'est malheureusement fait et c'était évidemment prévisible, comme nous l'écrivions dans ces colonnes suite à l'article de Barnier - Lepeltier dont nous expliquions qu'il était, sous son écologisme affiché, comme la chronique d'un échec annoncé.

Car la question n'est évidemment pas de montrer l'exemple dans une lutte dont l'Europe ne commencerait pas par se donner les moyens économiques, industriels et financiers. Elle est d'évaluer les risques avec rigueur et de préparer une économie de guerre contre le changement climatique en s'appuyant sur nos entreprises tout en préparant les conditions politiques d'une adhésion populaire à ces objectifs.

«Comme l'Europe est partie dans cette bataille, ce n'est pas demain la veille » !

Encore que nous saluons des initiatives comme la lancement d'Hélios 2 tendant à combler une part de notre retard. [Lire l'article sur ce sujet]
Regionaliser_la_mondialisation.htm
     

Comprendre les enjeux : que font en réalité les USA ?

En médaillon, Robert Marlay,
Directeur du Plan Climat américain


La conférence de Buenos-Aires a laissé chacun sur sa faim. Les pays en développement souhaitent que leur décollage ne soit pas entravé, les pays de l'OPEP demandent des compensations, les USA n'acceptent pas la logique du protocole. Quant à l'Europe, elle demande une limitation des effets dont elle n'est pas certaine d'obtenir les moyens.

«La France souhaiterait que la communauté internationale décide de limiter la hausse des températures à deux degrés d'ici à 2050», a rappelé à Buenos Aires le ministre français de l'Écologie et du Développement durable, Serge Lepeltier. Les ONG telles que le WWF propose des objectifs plus ambitieux encore. Il est clair que, dès lors qu'il s'agit de limiter la hausse et non de stabiliser le climat, on entre dans un domaine où règnent soit les apriorismes, soit des considérations stratégiques. Ces dernières sont conditionnées par une connaissance de plus en plus fine des impacts régionaux de l'évolution du climat. Le lancement du satellite européen Hélios 2 est à cet égard une bonne nouvelle. Car, jusqu'à présent, l'essentiel de la connaissance utile ne présentait pas les garanties d'indépendance nécessaires!

La prochaine conférence des partis au protocole de Kyoto aura lieu en novembre 2005. Donc en l'absence des pays non signataires sans lesquelles toutes les discussions sont vaines. Ce sera la première conférence dédiée à la mise en oeuvre du traité après son entrée en vigueur le 16 février 2005. La réunion de Bonn en mai prochain sur l'«après-2012» suffira-t-elle à préparer le terrain pour ouvrir la voie à une réelle négociation sur le sujet ? L'absence à la table des négociations des États-Unis qui n'ont pas ratifié Kyoto, la place apparemment sous de meilleurs auspices que Buenos Aires. Mais l'accord risque de se faire sur le dos des absents qu'on montrera du doigt.

Est-il raisonnable de poursuivre sans la présence de toute la communauté internationale ? Serge Lepeltier voulait ramener les USA dans la discussion. Il n'avait pas tort. La manière de s'y prendre n'était peut-être pas la bonne. Car, si les USA sont effectivement les gros pollueurs avec la Chine, ils seraient aussi les plus grands perdants d'une négociation malthusienne qui décréterait des objectifs sans qu'on s'en soit donné les moyens. Réaffirmons ici que le principe de subsidiarité et de responsabilité doit s'appliquer. Les organisations régionales doivent être reconnues responsables dans les futures discussions.

Or, les USA sont-ils les derniers à faire des efforts et à tenter de remettre "les boeufs avant la charrue" ?

Ce n'est pas certain. Suite à la conférence "Climate-Friendly Technologies" donnée à l'Ambassade des Etats-Unis le 15 décembre dernier, M. Robert Marlay, équivalent du directeur du Plan Climat américain, nous a laissé sa présentation (cf sa biographie). Vous trouverez ici des liens exclusifs sur un résumé du plan US et un lien sur les documents originaux de la conférence. (Il se peut que le téléchargement sur le site de l'Ambassade prenne un peu de temps, n'en soyez pas surpris. Utilisez la présentation simplifiée que nous vous proposons sous notre responsabilité en cas de difficulté).

En fin de conférence, Antoine-Tristan, Mocilnikar, représentant Energie Intelligence, interrogeait Robert Marlay sur les filières choisies pour les biocarburants. Patrice Hernu lui demandait enfin à quelles conditions les USA pourraient revenir dans le champ de la discussion. "Je suis un scientifique pas un politique. Mais, à titre personnel, je ne vois pas les Etats-Unis intégrer un processus de négociation autrement qu'à petits pas au fur et à mesure que les progrès technologiques nous donneront les moyens de garantir la lutte contre l'effet de serre." Sans ces moyens, il apparait en effet que ces négociations constitueraient plus un système de pression-sanction qu'un objectif partagé. La priorité est dans la "préparation de la guerre contre la dérive climatique" pas dans les discours. Si l'Europe veut garantir sa souveraineté dans cette future bataille, elle doit se donner les moyens de se battre efficacement notamment en relançant la recherche-développement propre à développer des industries amicales pour le climat. Quand sonnera l'heure de la vraie bataille, il n'est pas certain que le bouc-émissaire actuel soit en reste.

Dans l'"enclosure" de la planète dans ses problèmes, n'oublions pas qu'il n'y a, par définition, plus d'ennemis définitifs. "Nous sommes tous dans la même barque, USA compris". Aujourd'hui, nous vous présentons le tableau des efforts américains. Reste à fournir la fresque globale consolidée et comparative de la bataille et de la rapporter aux enjeux. Bien des surprises nous attendent. Sans ces informations, comment préparer l'après Kyoto ?

Note de Patrice Hernu

En lien, accès aux éléments du programme américain de lutte contre le changement climatique

Robert_Marlay_US_Approach_to_Climate_Change.htm
     

D'après une récente étude, le risque d'une nouvelle vague de chaleur aurait doublé

La météo vient de nous rappeler que les tempêtes du type 1999 devaient être désormais intégrées dans la gestion préventive ordinaire. Or, une étude publiée au début décembre dans "Nature" nous apprend que le risque de devoir supporter une vague de chaleur semblable à celle d'août 2003, aurait plus que doublé sous l'effet de l'activité humaine.

Si la réalité d'un dérèglement du mécanisme du subtil équilibre thermique découlant de l'effet de serre est de moins en moins mise en cause, malgré quelques polémiques récentes, le lien entre les catastrophes climatiques récentes et la dérive climatique n'est plus discuté. Les résultats publiés confortent la mise en évidence d'un lien entre les émissions de gaz à effet de serre et le réchauffement climatique.

Les températures ont été l'année dernière probablement les plus élevées que l'Europe ait connu depuis plus de 500 années. C'est ce qui ressort désormais clairement des travaux menés par Peter Stott, Daith de Hadley et Myles Allen de l'Université d'Oxford. La chaleur a provoqué un excédent de plus de 27.000 décès sur l'ensemble du continent. [La note complète] ...

Il nous apparaît évidemment indispensable que l'Europe assure sa souveraineté environnementale, se dote des outils de recherche et de prévision, qu'elle anticipe sur les évolutions probables et, surtout, se donne les moyens de sa sécurité environnementale.
Risque_de_vague_de_chaleur_selon_Nature.htm
     

Le plan national santé-environnement

En médaillon, Nathalie Kosciusko-Morizet
Présidente de la Commission Santé-Environnement
de l'Assemblée Nationale


Rappelant les 30 000 décès anticipés par an, liés à la pollution atmosphérique, et le doublement des maladies allergiques respiratoires en 20 ans, le ministre a dressé un pré-bilan du plan action santé-environnement, 5 mois après son adoption.

Ci-dessous, extraits de [la note de synthèse complète]

- Prévention de la légionellose

Deux arrêtés ministériels renforcent les mesures de prévention contre la légionellose, avec notamment l'instauration d'un contrôle externe obligatoire dans les tours aéroréfrigérantes. [suite...]

- Substances chimiques

A travers le projet européen, REACH, la France participe à l'évaluation de plus de 30 000 substances chimiques présentes sur le marché. Plus concrètement, des objectifs de réduction ont été fixés pour les dioxines et le plomb, respectivement 85 % et 65 % de réduction.

Dans le même ordre d'idées, les parlementaires du groupe d'étude santé et environnement de l'Assemblée nationale étudient la possibilité de créer un "logo unique et très visible pour les produits contenant des substances chimiques dangereuses".

La présidente du groupe, Nathalie Kosciusko-Morizet, députée UMP de l'Essonne, a organisé début décembre les deuxième rencontres parlementaires Santé et Environnement sur le thème "Impacts des pollutions chimiques sur la santé".

Selon elle, une proposition de loi pourrait faire référence à un décret énumérant les produits visés, dont la liste serait régulièrement révisée. [suite...]

Comment s'étonner dans ces conditons que REACH doive faire face à un lobbying acharné de la part d'industriels de la chimie, qui jugent son coût exorbitant pour leurs entreprises ! Il n'y aura de vraie politique environnementale réconciliant entreprise et citoyens sans une vraie réforme de l'Etat...

- Particules diesel

Alors qu'une étude met en avant une baisse de l'espérance de vie pouvant atteindre 2 ans, à cause des fines particules polluantes, principalement émises par les moteurs diesel, la France généralisera les filtres à particules qu'à l'horizon 2010. Néanmoins, Serge Lepeltier a annoncé un effort particulier sur les bus avec l'équipement, de ceux qui peuvent l'être, en filtre à particules. Dans ce cas, les gains sont significatifs avec une baisse de 90 % des émissions de particules.

A ce titre, 9 millions d'euros ont été ajoutés à la prévision de budget 2005, du ministère de l'écologie (Cf. l'interview de Serge Lepeltier dans ce numéro).

[L'article complet]
Une bonne idée : [Un site de débat sur la santé environnementale]

[Le Plan national santé environnement] [Le Résumé]

Le_plan_national_sante-environnement.htm
     

Arrêt du courant Atlantique Nord : demain, une autre glaciation ?

En médaillon, Michel Breuzard auteur de ce billet

Torbjörn Törnqvist est spécialisé en sciences de la terre à l'Université de Chicago en Illinois. C'est en analysant des prélèvements de tourbe (datation des dépôts au radiocarbone/évaluation de la tolérance végétale au sel) réalisés dans les marécages du delta du Mississipi en Louisiane pour une étude sur les modifications du niveau de la mer dans le Golf du Mexique qu'il a enfin la preuve de l'apparition brutale d'une montée des eaux il y a 8200 ans ! Un phénomène que de nombreux géologues et climatologues s'accordaient à imaginer sans en avoir de preuves tangibles jusqu'à présent. « Certains soutiendraient qu'il s'agit du changement de climat le plus dramatique de ces 10 000 dernières années ! » s'exclame même le chercheur.

[L'intégralité du billet de Michel Breuzard]

M.B.

[Autres éléments]

Ci-dessous à droite, lien vers un article de Juin 2004 (Il peut être nécessaire de cliquer une seconde fois pour un affichage correct)

Billet_Breuzard_Glaciation.htm http://www.ecobleue.com/home.asp?http://www.ecobleue.com/_generator/_montrer_FEPB.asp?CLE_LIGNE=X1A7F0E6U&B=Non
     

Informations

Propositions du deuxième Forum mondial du développement durable - Paris, 12, 13 et 14 novembre 2004 (Introduction)

Le deuxième Forum mondial du développement durable, organisé par la revue Passages et l'ADAPes, a traité cette année des périls mondiaux et de la façon d'y répondre par une meilleure gouvernance. Trois thèmes ont été privilégiés : les échanges, les investissements et les populations, tout particulièrement dans les relations entre l'Europe et le reste du Monde.

Les débats ont conforté le diagnostic qui fonde le Forum ainsi que les premières conclusions le montrent. [Lire le premier relevé conclusif du Forum] (Il peut être nécessaire de cliquer une seconde fois pour un affichage correct)

Bruxelles avalise le plan français d'allocation de quotas de CO2

La Commission européenne a donné son feu vert au nouveau Plan national d'allocation de quotas de CO2, qui élargit, conformément aux injonctions de Bruxelles, le nombre d'usines et d'établissements devant réduire leurs émissions de ce gaz à effet de serre à partir de 2005, a annoncé lundi le ministère de l'Ecologie. [Les infos et les commentaires du Réseau Action Climat] [La réaction du WWF]

Des simulateurs pour la gestion intelligente des risques

XISTOS Développement, start'up issue du Laboratoire d'Informatique de l'université Paris 6, est une jeune entreprise spécialisée  dans la réalisation de simulateurs pour la prévention, la formation et l'aide à la décision pour toute institution confrontée à un tel type de sinistre. [Lire la présentation résumée de Xistos]

Le froid solaire : une technologie d'avenir (Cèdre)

La climatisation par "Dessiccation" est l'évolution de la climatisation par évaporation. A l'image de nos poumons et de notre peau. C'est la cimatisation "naturelle" par excellence. C'est un système ouvert basé sur le refroidissement et la déshumidification de l'air des locaux. Il emploie comme seul réfrigérant l'eau et n'utilise donc pas de machines électriques à compression. [En savoir plus sur la climatisation par dessication]
Plan-France-CO2-Accord_de_Bruxelles.htm

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